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ANTHROPOLOGIE DES ECRITURES AUTOCHTONES AFRICAINES :

AUTEUR : Dr Baba Mamadi DIANE
Professeur à l’université du Caire, octobre 2011

Traduit du N’ko par Nafadji Sory CONDE et Faya Ismael TOLNO
Conakry, Guinée décembre 2011

Au nom de Dieu, le tout miséricordieux, le très miséricordieux. Qu’Allah accorde sa paix et son salut au prophète Muhammad (PSL)!
Le terme SOMOOYA, désignant la civilisation en N’ko est composé de trois catégories grammaticales. Le premier élément (SO) est un nom qui désigne une agglomération ; le second (MOO) est aussi un nom qui désigne les occupants de la même agglomération tandis que le troisième (YA) est un suffixe d’abstraction. Si on adjoint les deux premiers éléments du terme (SOMOO), cela est un adjectif nominal qui caractérise le fait d’être ensemble en un même lieu. Si on adjoint les trois éléments du terme, le tout désigne toutes les qualités du (SOMOO) : être ensemble, vivre en commun en un lieu, avec ses semblables dans une harmonie sociale.
Cela s’expliquerait par le fait qu’à l’époque précédant la civilisation, c’était l’étape sauvage et quasi naturelle pour l’homme comme les animaux supérieurs actuels. Même les primates évolués actuels domptés par l’Homme n’ont pu montrer aucun signe d’autonomie ou de liberté.
C’est à cause de l’intelligence de l’Homme que les anciennes civilisations ont vu jour et lui ont permis de dépasser le stade animalier.
Très tôt, l’homme à tailler la pierre pour confectionner les outils comme le couteau, la flèche, la lance aux âges de la pierre pour ses besoins à l’époque préhistoriques ;
A l’aide du bois et des pierres, faire la chasse, la guerre et dresser des pièges ;
Etablir à l’aide des hauts fourneaux et du bois, la fusion du fer pour la métallurgie, jusqu’à la maîtrise de l’électricité et de l’électron actuellement ;
Faire des harpons, des hameçons, des perches, puis des aiguilles avec des appâts pour pêcher des poissons.
Ainsi, pour vivre et survivre dans la satisfaction économique de ses besoins vitaux, l’homme a été obligé de s’organiser dès les premières heures de l’humanité. C’est ce qui amena l’homme à la connaissance et à la technique. Chaque civilisation se forma dans son milieu naturel et transmet sa culture par des langues primitives par voie orale. Les premiers peuples civilisés ont généralement usés de l’oralité pour la transmission de leurs cultures et de leurs littératures.
Cependant pour une bonne conservation et une pérennité des valeurs transmises, les premiers types d’écriture sont inventés sous forme hiéroglyphique en Egypte pharaonique. Cela attira en Afrique du Nord – Est dans l’antiquité les contemporains de toutes les parties du monde vers l’Egypte. L’hégémonie de la civilisation égyptienne africaine s’est manifestée par cette position d’avant-garde. Les autres peuples apprirent ainsi l’importance de l’écriture, de la science en commençant par les phéniciens, les grecs. C’est comme ça que les centres de civilisation gravitèrent d’un lieu à un autre au fil de l’histoire. Les autres peuples qui avaient un instrument de conservation de leurs cultures et de leurs civilisations n’ont pas eu besoin d’écriture. La pérennité de cet instrument conservatoire a comblé le vide de l’écriture dans les civilisations africaines. C’est pourquoi l’absence d’écriture chez eux n’est pas synonyme de méconnaissance.
Certes, d’autres pourront dire que l’absence d’écriture est une ignorance, qu’il n’est pas civilisé et ignore son passé. Or celui qui ignore cela aura un avenir assombrit. Ce dernier pensera qu’il a raison. Mais est ce une raison générale acceptable par tout le monde ?
C’est une analyse comparative qui révèle certaines vérités comme celle d’un peuple de tradition écrite par rapport à celle d’un autre de tradition orale. Par exemple, la comparaison entre le mandé de Soundiata et ses contemporains d’Europe ou d’Asie.
Cependant, la tradition orale devient négative si elle n’arrive pas à exprimer et à garder la littérature et la culture. Son dépositaire sera ignorant en l’absence de bons instruments conservateurs. L’inculture n’est pas l’apanage des seuls peuples à tradition orale. Car la conservation de la culture, si elle n’est pas accompagnée d’une organisation forte et si elle ne peut pas traduire le degré de la nature du changement. Il aura un abandon et une disparition progressive qui atteindra le niveau d’analphabétisme. C’est ce qui fait qu’aujourd’hui, le seul lecteur des hiéroglyphes est un illettré en absence d’autres connaissances.
De même que le connaisseur du grec et du latin ancien est un analphabète sans autres types d connaissances. C’est pourquoi, il se dit qu’à cette période électronique que celui qui ignore tout dans un ordinateur est un analphabète.
La littérature des peuples de l’oralité, à cause des difficultés inhérentes à la vie, s’est vue éclipser au fil des siècles à cause de l’évolution des hiéroglyphes. Ainsi, cette évolution a vu certains peuples à l’hégémonie et d’autres à la perte de vitesse.
A l’époque de l’empereur manding Kankou Moussa qui correspond à l’âge d‘or de l’oralité, son pays était mieux organisé que de nombreux peuples de longue civilisation écrite.
Pour des raisons économiques, les cours mondiaux de l’or baissèrent au moyen orient pendant douze ans à cause du voyage de Mansa Moussa chez les arabes qui étaient considérés à l’époque comme les plus évolués du monde.
Imaginer un chef qui se déplace pour visiter la maison blanche et qu’il comble tellement les américains de cadeaux que les cours mondiaux de l’or baissent à la bourse américaine durant des mois, des années voire des décennies. Certes, ce pays sera automatiquement classé 1ère puissance économique à la place des Etats Unis.
Depuis que les africains ont soupçonné les documents oraux de désuétude, ils ont pensé à la mise en place de ceux écrits.
De nombreuses personnes sont d’avis que l’évolution des africains n’a pas atteint le stade de l’écriture, alors que ce sont eux qui ont appris aux autres l’écriture.
C’est à cause de cela que nous voulons présenter des échantillons d’écriture africaine et les littératures connexes en terminant par le N’ko. Cette dernière écriture sur laquelle nous nous appesantirons est la plus performante et la plus évoluée des écritures actuelles à cause de ses caractéristiques phonétiques et phonologiques.
Comme l’Afrique est le berceau de l’écriture, donc le point de diffusion des écritures, nous considérons à ce titre que l’écriture n’est pas étrangère à l’Afrique. Ce n’est pas une nouvelle réalité sur le continent africain. C’est pourquoi nous retracerons l’évolution de l’écriture de ses origines à nos jours et monter aussi pourquoi les premiers spécimens d’écriture ont disparu sans connaitre une large diffusion..
Nous expliquerons et comprendrons également vers quelle direction se dirige notre écriture.
Dans notre façon de comprendre, l’écriture a commencé en Afrique. Dès lors, l’humanité a connu beaucoup de types d’écriture aux sphères d’influences très variées. La longévité d’une écriture peut être courte. Cela dépend de la composition et de la pédagogie de son enseignement, mais nullement du soutien.
L’écriture désigne trois réalités :
· Exprimer une idée conventionnelle comme les hiéroglyphes
· Exprimer un son
· Exprimer en même temps le son et le contenu.
· Ecriture syllabique ;
· Ecriture vocalique et consonantique
· Ecriture vocalique, consonantique et phonétique.
· La pensée et le son.
· En voici des exemples de chaque type d’écriture africaine.
PREMIER : ECHANTION D’ECRITURE IDEOGRAMMIQUE
A- LES HYEROGLYPHES :
Les hiéroglyphes constituent les prototypes des premières écritures africaines, voire mondiales. L’Egypte pharaonique a été le centre de cette civilisation qui était essentiellement noire, d’où le terme (kemun) désignant la couleur noir non seulement en égyptien ancien, mais aussi en langue mandingue actuelle.
Cette écriture représente les idées en signe de la même façon que les chiffres expriment les nombres. Si on écrit un chiffre, il exprime le nombre au delà même des prononciations syllabiques ou alphabétiques des consonnes et voyelles.

Tableau 1

Haoussa

 

N’ko

chinois

anglais

français

Pronunciation

 Idéeograme

sipli

dokolon

lìí

Zero

zero

0

daya

kelen

i:

One

Une

1

biyu

fila

a:

Two

Deux

2

uku

saba

Three

Trois

3

huddu

nanin

si

Four

Quatre

4

biyar

lolu

wùú

Five

Cinq

5

chida

woro

liò

Six

Six

6

bakkoi

woronwfila

tyí

Seven

sept

7

takkoas

Sekin

      pá

Eight

Huit

8

Ta:ra

konondo

tyòó

Nine

Neuf

9

Ta:rawa

Bu:

tyá

Plus

Plus

+

debewa

Ja:

tyúwi

Mines

Moin

-

daidaida

ye

Tyàmu:

equal

egale

=

L’avantage  de ce type d’écriture tient au fait que plusieurs langues différentes peuvent utiliser en lecture les mêmes signes et les mêmes orthographes sans différence car, chacun pourra interpréter les signes dans sa propre langue même si les prononciations sont différentes. C’est le cas des idéogrammes utilisés en Asie que plusieurs langues différentes peuvent utiliser.
Ses inconvénients sont le fait qu’on a besoin de le développer et de l’adapter à une langue spécifique pour les besoins de la cause. Ce qui emmène à la création de nouveaux signes. Or la pluralité des signes est un obstacle majeur à leur compréhension ou à leur mémorisation par une personne.
DEUXIEME.
LES ECRITURES QUI EXPRIMENT DES SONS :
Les écritures consonantiques sont utilisées par des langues qui ont peu de voyelles (3 ou 4) si l’on tient compte de l’élision. La pluralité des voyelles dans les langues africaines fait que les écritures sémitiques n’en sont pas appropriées. Le fait que l’on peut déterminer la prononciation des mots par la syntaxe grammaticale sans mention des voyelles fait de ce type une écriture syllabique. C’est pourquoi l’écriture arabe n’utilise les voyelles a, i et ou alors que les 98 pourcent des ouvrages arabiques sont écrites uniquement en consonnes.
B-a: Ecriture guèze : c’est le peuple éthiopien qui a expérimenté l’écriture consonantique guèze avant tous les autres africains. Finalement, les éthiopiens rajoutèrent des voyelles. L’écriture arabe avait suivi le même schéma évolutif. Cependant, plusieurs siècles de voisinage et leur christianisme conjugué avec l’expansion de l’islam en Afrique du nord amenèrent les africains à adopter l’écriture sémitique modifiée. Le premier spécimen de cette écriture qui a pu se développer en Ethiopie et ses environs est l’écriture guèze. En voici un exemple:

Ce premier prototype de l’écriture a été utilisée jusqu’en 330 après JC. Elle comprenait 26 lettres, toutes des consonnes. C’était un écriture cunéiforme dont les lettres classiques sont à droite du tableau suivant.
Les choses ont ainsi évolué jusqu’à l’expansion du christianisme en orient avec ses corolaires de vocalisation alphabétique. Les voyelles sont finalement devenues déterminantes. C’est ce que l’on peut observer aujourd’hui dans l’écriture amharique d’Ethiopie. Voici ci dessous, le tableau de cette écriture dans sa version développée.
Malgré l’enrichissement de l’écriture guèze, elle ne peut pas transcrire toutes les langues de l’Afrique orientales. C’est pourquoi les autres peuples de la même region d’Afrique ont trouvé d’autres solutions :
B.e:  Créer un autre système comme l’ousmanya de la somalie Soit prendre les dérivés de l’écriture arabe ou latine pour transcrire les langues, voire les écritures antiques.
Ceux qui ont commencé par créer un nouveau système sont les pays situés au nord de l’espace manden. Ils se sont inspirés de ‘écriture antique libyenne qui découle elle-même du phénicien : c’est la cas de l’écriture tifinagh consonantique qui s’écrit de la gauche vers la droite.
L’écriture tifinagh est alors comme une des dernières versions de l’écriture phénicienne. C’est une écriture antique. Elle fut incorporée dans l’Unicode en même temps que le N’ko et possède 55 lettres. Elle existe également dans le Windows 7.
De ceux qui ont commencé par créer une nouvelle écriture, il ya le cas du somalien Ousman Youssouf Kelanadyte. C’est une écriture adaptée aux singularités de la langue somalienne. Elle fut inventée entre 1920 et 1922. Elle est une écriture spécifiquement consonantique comme l’arabe. L’écriture ousmanya s’est vite répandue en somalie. Mais l’existence de l’écriture arabe, de celle latine, des écritures antiques ont fini par anéantir son expansion et l’ont réduit à sa plus petite expression. En voici ses lettres :
Certains peuples africains n’ont pas fait de la recherche d’une écriture leur préoccupation majeure. C’est pourquoi ils ont choisi le latin ou l’arabe pour transcrire leurs langues.
Malheureusement, certains ont été contraints dans leur choix et beaucoup l’ont abandonné. Car pour qu’une langue soit bien transcrite par un système, il faut qu’elle se reflète dans la graphie. Au cas contraire, elle ne se développe pas.
 Concernant les peuples qui ont adopté l’alphabet consonantique arabe, les spécialistes n’ont jamais pu s’entendre sur le processus de leurs harmonisations. L’absence de concordance entre les langues africaines trop vocaliques et l’écriture arabe trop peu vocalisée ont fait que ces expériences n’ont pas pu apporter des progrès significatifs. Pire, elle a fait régresser les efforts.
Les raisons sont évidentes, car l’alphabet sémitique qui comprenait au départ quinze lettre a été accommodé pour créer l’alphabet arabe par l’ajout de signes diacritiques en bas ou en haut des lettres pour en faire 28 lettres au total, voire 30 après.
Voici des exemples de ces types de lettres :
C’est ce que les africains ont adapté en y ajoutant d’autres signes complémentaires par rapport au besoin de leurs langues en voyelles. En ce moment, ils ne pensaient même pas à noter les tons.
Un peu plus tard, les essais de transcription des langues africaines en latin commencèrent après les conquêtes coloniales. Le fait que l’écriture latine vaut mieux que celle arabe en matière de transcription, cela a conforté le sentiment qu’elle est la meilleure écriture. Mais comme l’occident savait depuis longtemps les faiblesses de leurs écritures, ils l’ont amélioré dès le 18ème siècle. Ce latin amélioré a été conseillé aux peuples ne détenant aucune forme d’écriture.
Cependant l’occident et les africanistes occidentaux qui ignorent ces informations pensent que ce sont eux qui ont apporté aux africains l’écriture alors que l’Afrique st l berceau de diffusion de l’écriture d’où elle s’est répandue vers les autres endroits du monde.
Supposons alors comme si ce sont eux qui nous ont apportés l’écrit. En dehors des hiéroglyphes, est ce que les survivances de l’écriture phénicienne ne sont elle pas visibles encore d nos jours en Afrique du Nord ? est ce que ce ne sont pas les arabes qui ont introduit pour la première fois l’islam en alphabet arabe en Afrique de l’Est, du sud et de l’ouest ?
Voici les exemples d ce latin étendu:
Le système d’écriture est composé de 16 voyelles, de 18 consonnes et de trois diphtongues neutres de façon visuelle. Seuls les propriétaires d’un objet ancien peut déchiffrer les vrais détails. Cela veut dire qu’améliorer une écriture ou un alphabet ne peut être possible que par les locuteurs natifs de la langue, et non par des étrangers.
Comme personne n’ignore que l’écriture latine n’est pas méconnue en matière de transcription des langues africaines, nous ne montrerons pas d’exemple ici. Chaque langue n’a pas réussi à avoir une forme standard reconnue de regroupement de tous les dialectes surtout s’ils existent au delà des frontières étatiques.
La diffusion des écritures consonantiques en Afrique conjuguée aux difficultés d’apprentissage orientèrent les africains à élaborer des écritures syllabiques, dont la caractéristique est d’attribuer des signes différents à toutes les syllabes d’une même langue. Ce moment a trouvé que l’expansion de l’écriture latine était déjà réalisée au monde. L’existence de toutes les syllabes d’une langue dans une écriture syllabique est un atout. Mais son inconvénient est qu’elle ne peut pas noter les syllabes d’une autre langue, pas même un dialecte de cette langue.
Les écritures syllabiques:
C-a: L’écriture vaï est une illustration du système syllabique. La lettre r et toutes ses syllabes sont absentes car le peuple vaï n’a pas le son r dans sa langue. C’est le scientifique Momolu Doualu Bukele vers 1833. Fodé Soulemana Kanté a expliqué que les signes de la migration des konianké de la forêt vers les côtes libériennes et léonaises ont été regroupés pour former l’écriture vaï . En plus, il a indiqué que le vaï serait le résultat d’une révélation. Son auteur aurait oublié des signes. C’est pourquoi, ses signes n’atteignent pas 220.
Lorsque Soulemana kanté avait essayé l’arabe en quatre ans, puis le latin en trois ans, il avait appris l’existence du vaî par le canal du libanais Kamal Marwa a Bouaké en 1944. Il chercha jusqu’à trouver l’écriture vaï. Content d’avoir trouvé une écriture africaine, il réalisa malheureusement que cette dernière ne comprenant pas tous les sons. Il comprit outre les difficultés d’apprentissage, l’absence de notation tonale et d certaines lettres étaient un obstacle sérieux à la compréhension.
Dans notre entendement, la vaï fut le prototype des premières écritures syllabiques connues d’Afrique de l’ouest. Son existence a fait affluer les chercheurs vers cette zone du continent.
C-e: L’écriture Bamoum :
L’écriture Bamoun a d’abord été hiéroglyphique en 1910 par le fait du Roi Ibrahima N’djoya qui créa 466 signes. 40 ans plus tard, elle muta progressivement vers la forme alphabétique vers 1930. Sa sixième version, celle de 1930, ne contient que 80 lettres.
Cependant, l’occupation coloniale a détruit toutes les écoles bamoum en les brulant après la première guerre mondiale. Le fondateur du système bamoum fut déporté à Yaoundé où il mourut deux ans plus tard. Si les scientifiques actuels n’ont pas connu le même sort que le fondateur du Bamoum, c’est que les peuples africains ne vivent plus sous l’occupation coloniale. Comme chaque époque a sa forme de combat, c’est pourquoi les écritures africaines sont subtilement combattues par les néocolonialismes.
Mais malheureusement, l’enseignement des langues nationales est réservé au secteur d’Alphabétisation des adultes alors que l’enseignement des enfants ne s’effectue qu’en langue étrangère. Ce paradoxe est la mort programmée des langues africaines.
Si nos descendants se révolteront en reniant leur histoire, leur origine et leur langue, africaines au moment où toute trace écrite de ces langues auront disparues, ce sera le médecin après la mort car, rien ne leur permettra d’avoir une assise culturelle pour les ramener à la raison.
Cette façon de combattre les langues africaines a commencé il ya très longtemps. Cela a sonné le glas de certaines langues disparues en Afrique le siècle dernier par la disparition de la littérature, des traditions et des cultures. Les littératures actuelles ne s’inspirent pas des réalités parentales, mais des réalités importées que les enfants maîtrisent. Les systèmes éducatifs loin de régler le problème contribue à anéantir les cultures africaines en valorisant les langues étrangères. La façon dont l’homme ressemble à ses parents, c’est comme ça qu’on perçoit la culture à travers sa langue.
Voici un specimen du premier système Bamoum :

C-c: L’écriture MENDE :
Cette écriture du léonais Kisman Kamala est un système syllabique mis en place en 1930 en Sierra Leone… En voici ses lettres:
Malgré les similitudes entre ce système et le Vaïkan gbodo, il est une écriture de droite à gauche qui utilise 195 signes alors que le Vaïkan gbodo va de la droite vers la gauche. Mais le pouvoir colonial ouvrit des écoles latines pour la littérature mende en latin puis en anglais.
Les difficultés d’apprentissage du Mende, écriture syllabique, à côté de l’alphabet latin, plus simple, et l’imposition de langue européenne dans la vie courante et dans l’administration ont emmené cette écriture à disparaitre progressivement un siècle après.
Ecriture massaba:
C’est un système d’écriture syllabique créé en 1930 par Woyo Koulibali. Voici les Syllabes du massaba.

L’écriture massaba comprend 123 lettres et a été fondé par les bambara Massassi du Kaarta. Il a été élaboré sous le modèle des sept voyelles du système mandingue. Cependant ces signes se retrouvent dans leur prononciation syllabique.
Comme il n’existe ni de voyelle pour se connecter aux consonnes, tous les signes sont des syllabes.
Dans la conception de l’écriture, les syllabes absentes du Bambara Massassi du Bèlèdougou sont également absentes du système.
C’est comme le cas du vaï où le r est également absent. Tout signe absent des locuteurs natifs des écritures syllabiques ne sont pas dans les syllabes. C’est une caractéristique
commune aux systèmessyllabiques. 

C-d: L’écriture africaine syllabique Loma :
L’écriture syllabique Loma a été fondée en 1930 par Wido Ezeketa. Elle a 185 lettres. Ses caractéristiques sont proches du Massaba. Elle a été élaborée pour transcrire le Loma au Liberia. Elle se lit de gauche vers droite. Il n’est presque plus utilisé de nos jours. Voici les lettres du script Loma :
C-e:L’écriture africaine Gbèlè :
C’est une écriture créée par Gbili Sanoye en 1930 et comprend 88 lettres. Il est aussi du modèle des sept voyelles du manden. Comme les écritures syllabiques du même genre, le guèlè est un peuple manding non n’kophone à la frontière entre la Guinée et la Sierra Leone.
Voici un specimen des lettres gbèlè :
D-a: L’écriture Bassa :
Au moment où les fondateurs des écritures africaines utilisaient les systèmes syllabiques depuis la première moitié du 19ème siècle, l’apparition de l’écriture BASSA emmena quelques changements. Car, les écritures syllabiques peuvent représentées les voyelles à travers les lettres, mais elles n’arrivent pas à interpréter l’association consonne voyelle. L’évolution de l’écriture Bassa, syllabique au départ, devient progressivement vocalique et consonantique. Les signes Bassa étaient du nombre de plus en plus réduit avec 35 lettres dont 7 voyelles et 23 consonnes avec 5 signes diacritiques pour les marques tonales.
Voici les signes Bassa:

Ces deux tableaux représentent les consonnes du système Bassa.

Le tableau suivant indique les voyelles du Bassa et des notations tonales. Le i est la première voyelle.

Certains prétendent que le bassa a été fondé par les missionnaires chrétiens américains en 1920. De nos jours, j’émets des réserves car, le latin est l’écriture des missionnaires américains. Dans leurs déplacements, ils n’ont emmené que le latin. Comment les intéresses pouvaient ils abandonner leurs écrits pour créer un autre alphabet. C’est pourquoi je suis d’avis que l’on doit dissocier le Bassa du missionnaire. Cela n’exclut pas le fait que ses fondateurs soient chrétiens.
Ainsi, quand il ya perfectionnement en Afrique, on l’attribue toujours aux étrangers. C’est ce qui sera le cas, nous le verrons plus tard du wolof et du N’ko
D-b: L’écriture phonétique N’ko :
Elle a été fondée en 1949 par Solomana KANTE, elle présente des similitudes avec le Bassa par l’existence des voyelles, consonnes et notation tonale, mais elle diffère de cette dernière par ses particularités propres. Nous terminerons notre recherche par le N’ko, nous l’avons emmené ici pour la partition historique des systèmes.
Voici l’alphabet N’ko en présentation :
E-:L’écriture wolof :
C’est un système d’écriture inventé en 1960 par Assane Faye. Elle comporte des voyelles et des consonnes. En tout 25 lettres et 10 chiffres. Les voyelles ne sont pas comptabilisées dans l’alphabet. C’est une écriture non phonétique comme les autres écritures consonantiques et vocaliques.
Idéogramme et phonétisme :
Si nous parlons de tous les systèmes d’écriture inventés par les africains, ça sera un peu étroit ici. On laisse les autres systèmes pour vous parler du dernier di genre.
A-: L’écriture mandombe :
C’est un système d’écriture conçu en 1978 par Wabelazo PAYI pour les langues africaines. Le mandombé est une écriture cunéiforme dont le fondateur a eu l’inspiration dans la région de Mbanza-Zoungou au Congo maritime et au Congo Brazzaville.
La ponctuation en seconde position prend la place des voyelles intermédiaires ;

Les consonnes sont dans le groupe regroupant les couches basiques.
En premier, les consonnes complètes s’ajoutent à la base radicale.
Une forme se réfère à droite et à gauche comme dans le groupe 1er.
Le second concerne les voyelles, les dérivés vocaliques et basiques,
Il s’associe à une base pour

devenir comme le second groupe; Le troisième est l’association de la voyelle en haut ou en bas comme le groupe trois.
Le quatrième est l’association du groupe de voyelles, de consonnes sur une dent externe comme la ligne du bas. 
Remarque:
Les voyelles et les différentes positions basiques n’entrainent nullement un changement vocalique.
Comme pour l’écriture N’ko, la lettre ba [ߓ] retournée devient pa
[ߔ]; renversée, elle dévient le chiffre 3 [߃]. Tout cela en mandombe est la même chose.
Quand à chaque consonne, elle devient changeant dans chaque groupe.
On peut apporter un changement dans cette écriture par cette manière.

Dans ce tableau, tu peux t’aider toi-même à l’aide du français:
Le mandombé contient des chiffres aussi. Regarde-les en haut à droite du tableau.
Notre dernier alphabet est un véritable alphabet.
Son fondateur le destine à toute l’Afrique. Il faut qu’il soit en liaison avec les promoteurs de l’alphabet N’ko pour que chacun montre les capacités de son écriture.
Voici un texte mandombé ci-dessous:

Face à la multitude des écritures africaines, nous voulons tous les résumer. La plus part de ces écritures furent fondées au 19ème et 20ème siècle et ont fini par disparaitre. La nature des ces écritures et leur façon de les promouvoir n’ont pas rassuré leur devenir.
Les peuples pour lesquels ces écritures ont été créées ignorent aujourd’hui si ces écritures ont existé.

 

 

 

Le bassa et le N’ko sont des écritures consonantiques et vocalique et tonale.

Voici un exemple d’écriture consonantique et vocalique.

Voici un exemple d’écriture consonantique et vocalique.

De toutes ces écritures africaines répertoriées, il ya certaines qui ont survécu.
Nous allons les présenter en les comparants aux écritures largement diffusées et très anciennes.
Nous commencerons par démontrer les compétences de l’alphabet N’ko. Après les autres suivront.
L’alphabet N’ko:
D-b: l’alphabet phonétique africain (N’ko) a été crée par le chercheur Solomana KANTE en 1949.
Il est juste comme l’écriture bassa (pour l’idée d’existence des consonnes des voyelles) cependant il est différent de celui-ci par sa particularité de transcrire les langues étrangères et ses lettres des réserves.
Son nom [N’ko], ce nom est bâti au nom de la langue commune de l’empire du Mandé par KANTE comme il l’a montré dans son ouvrage intitulé les « cinq grandes questions et leurs réponses ».
Le N’ko a été fondé alors que monsieur KANTE avait quatre ans ans décrit dans l’alphabet arabe et trois ans l’alphabet latin. A chaque fois qu’il atteint la grammaire et ses logiques dans l’arabe et le latin, il se voit caler ; alors qu’il avait déjà ajouté d’autres termes de lui-même afin de les adapter à la langue commune madingue, par les voyelles et consonnes. Bon gré ce système, ces alphabets n’ont pas pu être la de sa langue sur papier.
Quant il a entendu un jour, dans la conversation de ses familiers que: (Djaaka, prends le couteau et l’envois), quand il a duré sans l’envoyer. Il a entendu encore : (qu’il n’y a pas un couteau là-bas ?). C’est ainsi, qu’il a constaté que l’indéterminé du mot (le couteau) est (un couteau). C’est de là qu’il a su l’utilité du ton avant d’inventer l’alphabet N’ko.
Quand il a vu que ces deux écritures ne peuvent pas le satisfaire, il fut informé au même moment pour l’existence de l’écriture des Fayika (un groupe de l’empire du Mandé). Sur le coup il a commencé l’apprendre tout en couvrant que cette écriture est purement syllabique et les Fayika sont de même ethnie que lui, c’est de là qu’il s’est rendu conscient que Dieu n’a pas encore refusé de créer un nouvel; parce qu’il croyait que Dieu le Tout Puissant qui a révélé l’écriture arabe pour écrire le Coran.
 A cet effet, il s’est désintéressé des alphabets étrangers incomplets et de celui syllabique et difficile ses de confrères afin de prendre se baser de initiative de créer un nouveau l’alphabet riche en caractère adéquat pour transcrire sa langue et les autres langues humaines. C’est la raison fondamentale pour initier l’Alphabet N’ ko au 14 février 1949.
Certains disent que c’est grâce à la diffamation du libanais Gaamil Marwa qui l’a irrité d’où l’idée de créer le N’ko. Détrompez vous cette irritation a bien trouvé qu’il était dans un monde pour transcrire. Eest-ce qu’une simple irritation peut directement pousser quelqu’un à rentrer dans la chambre pour créer un alphabet phonétique, tout en s’intéressant sa langue rigoureusement dans les domaines scientifiques, et de surcroît capable de transcrire les autres langues déjà transcrites et en fin avec des caractères de réserve pour des cas éventuels ? Cela est réellement difficile.
Cela prouve que ce n’est pas cette irritation, car il fut irrité de la même manière à Kankan avant d’aller à Côte d’Ivoire.
Un jour, il est parti chez un prêtre afin qu’il lui lise certaines expressions littéraire en manika devant lui, pour qu’il puisse discerner la véracité et la fausseté ce que son oncle maternel Soule a dit. Ce récit est ceci : l’écriture ne peut pas transcrire toutes les parties de la langue mais elle peut faire de sorte qu’on pourra maîtriser les mots difficiles. Son oncle a dit cela parce que l’histoire de Wassoulou qui était avec lui, en langue manika transcrit en alphabet arabe ; lui qui est plus instruit que son oncle en arabe, le lisait difficilement alors que celui-ci le lisait rapidement du fait de le raconter à maintes reprises et non à cause de l’écriture elle-même. C’est ce doute qui était en monsieur KANTE.
C’est ce qu’il est venu rechercher auprès du prêtre blanc qui connaît le manika plus que lui, parce qu’il a déjà traduit la bible entière en manika. Ce prêtre commença la lecture par l’introduction tout en tâtonnant dans la prononciation des mots. Monsieur l’a demandé pourquoi cela ? Il l’a répondu que cette faute n’est pas de moi, elle est dans la composition de vos langues africaines.
 Cela veut dire que le prêtre a accusé la langue et non l’écriture, alors que la faute est la transcription manika en latin. La faute est au manque de transcription correcte des mots et tons de la langue manika dans la bible du prêtre et dans le d’histoire de son oncle. Le chercheur Solomana KANTE lui-même avait accusé les langues africaines par ce manque transcription correctes dans les écritures étrangères, parce qu’il croyait au prête en tant chef religieux. On peut bien expliquer cela parce qu’il n’avait pas encore percé le secret de l’écriture et de la langue.
Il a progressivement corrigé ces fautes en sa capacité, en arabe durant quatre (4) ans et en latin durant (3) dans son voyage au Ghana, excepté ceux qui ont été insoluble parmi elles dans le ton.
L’écriture des Fayika qu’il avait considéré que pourra le satisfaire: la lettre  [ ߙ]qui n’avait aucun ton. Le fait qu’il est incomplet s’ajouta à sa difficulté le poussèrent à se baser sur la création d’un nouveau alphabet pour appliquer toutes ses connaissance et désir en lui après sa création. L’alphabet était de 25 lettres en 1949 et voici le ton et leur application:
[ ߊ ߋ ߌ ߍ ߎ ߏ ߐ ߓ ߔ ߕ ߖ ߗ ߘ ߙ ߟ ߛ ߜ ߝ ߞ ߟ ߡ ߢ ߣ ߤ ߥ ߦ] en ce temps la lettre [ߣ] non vocalisée était [ߣߵ = ߒ]  et  [ ߙ] doublé était  [ߊ] il a ajouté ceux-ci pour compléter à 27 lettres : sept (7), dix-neuf (19) consones et une lettres médiale.
C’est   en   1980   qu’il  a  enjolivé   trois  (3)   lettres    [ ߖ ߗ ߙ ] et considéré   [ ߊ ] comme lettre libre alors que  [ ߒ] était déjà libre  à  la  place  de   [ ߣ ] apostrophe.  Quand au ton, on met   [ ߑ] comme apostrophe au milieu des mots.
Pour montrer aussi comment écrire les mots approximatives dans ces différentes consonnes déjà connues. Partant de cela ses élèves ont généralisé cette jusqu’à la création de plusieurs lettres de réserve, qui prouve la célébrité du N’ko.

TABLEAU

La transformation de la prononciation de chacune des sept (7) voyelles par des tons et leurs compléments.

TABLEAU

Ce tableau montre qu’une seule consonne peut être vocalisé de 16 manière par une sorte de voyelle. Cela prouve que de la manière dont le 1er tableau a été composé de consonne simple, on pourra composer 16 de celle dans le 2eme tableau pour simplement 2128  syllabes en plus de cela, les 8 tons de ''ߒ ''  d’où le tout fait 2136.
Ce sont ces deux tableaux précédents qui sont des syllabes des lettres originales du N’ko. Ces lettres contiennent d’aucun signe diacritique. Quant aux lettres approximatives, ce sont ces deux points [߳  ] seulement qui sont pour les voyelles afin de montrer leur prononciation approximative comme suit : [ߊ߳ ߋ߳ ߌ߳ ߍ߳ ߎ߳ ߏ߳ ߐ߳   ] de là elles deviennent des consonnes quand elles vocalisées dans ce sens. Elles peuvent être aussi des voyelles quand on entend une expression qui leur approximative dans une autre langue comme : [ ߊ߳] est le (a) de l’arabe qu’on prononce dans le larynx [ ߊ߳ߊ ].
Quant  aux  sept (7) et  ses  dérivations par exemple les voyelles [ ߋ߳ ߎ߳ ]
sont les expressions approximatives de nos lettres [ ߋ ߎ ] dans le français. Quant aux consonnes chacune d’elles portes ces signes diacritiques [ ُ ߫ ߳]    pour ses lettres approximatives comme ses lettres : [ ߛ ߛ ߛ߳ ، ߜ ߜ ߜ߳]. De là, les voyelles se dérivent une fois et les consonnes trois fois, alors on pourra construire à chacune d’elles:
Les 19 consonnes approximatives en pointillée  TABLEAU
Les 19 consonnes approximatives avec des tirait au dessus  TABLEAU
Les19 consonnes approximatives avec deux points au dessus TABLEAU
Remarque :
-[ߣ ߠ]=[ߢ ߧ]  sont toutes les mêmes dans prononciation, c’est une règle de grammaire qui les applique.
-le reste des lettres sont de 10 et ceux-ci : [   ߋߊ ߴ ߵ ! ء ߋߊ ߊ ]  qui signifient : apostrophe, les deux signes pour l’absence de la voix haute (ߴ) et basse (ߵ), l’interjection, le petit o (ء), la virgule, et l’unité scientifique comme : [ ߜߊ ߞߊ ߛߊ ߜߗߊ ߜߥߊ ]   qui signifient le mètre, le kilogramme, le centimètre et le millimètre, parce qu’il n’y a pas de de lettres appropriées en N’ko pour représenter.
Quant au nom propre en N’ko, il est terminé par la voix brusque et en latin il est commencé par la lettre majuscule.
Le chercheur a conçu cet alphabet de sorte que les 7 voyelles peuvent se transformer en d’autres avec les lettres de réserve qui n’existent pas chez les autres.
Le N’ko s’est élargi dans les lettres approximatives pour transcrire correctement les expressions étrangères.
Le fait que l’écriture arabe et latine ont précédé l’écriture N’ko. Elles sont considérées comme des instruments qui gardent les héritages depuis des siècles, c’est là où elles ont influencé nos noms propres et nos mots. Alors qui peut contredire l’insuffisance de ces temps ?
C’est cette raison qu’on ne pourra pas bien lire 10 noms de ville et 10 noms de familles dans ces écritures étrangères. C’est ce qui a transformé (mandé) en (mali), (mansa kanku moussa) en (mansa kankan moussa), (kèta , keta) en (keita), (köndè , könè) en (kondé , koné), (kandè, kantè) en (kandé, kandé) jusqu’ au point où nous même nous avions failli considérer certains comme noms de famille à part entière.
A part idiogramme, quand nous observons les lettres comme la photo de l’expression humaine, conformément aux principes de la langue dont elles fondées, nous constatons qu’elles se différencient l’une de l’autre par leur capacité de photographier les sons. On reconnaît cette capacité dans la multiplicité des syllabes qui sont composées pour former les différents mots, et syllabes ne regroupes en seul son. Cette différenciation est connue à travers ces points suivants :
· Si l’alphabet n’est composé que de consonnes sans voyelle, alors le ton qui montre les différentes vocalisations d’une seule lettre, l’ensemble des lettres est à multiplier par ce nombre ; par exemple oussoumaniya et wölöfö.
· Si l’alphabet est sylabique, son nombre l’ensemble des syllabes possibles qui le constituent ; par exemple l’alphabet des fayika est de 210, bamou, massaba et d’autre écritures africaines.
· Si l’alphabet est composé de consonnes et voyelles, s’explique par le nombre consonnes multiplier par le nombre de voyelle comme latin.
· Si l’alphabet est composé de voyelles et consonnes dans lequel les tons sont indispensables, reconnaît son nombre par la multiplication du nombre voyelles par nombres consonnes et par le nombre de tons.
· Quant à l’alphabet dont ses lettres croient, sa capacité depend des lettres auxquelles elles se transforment. Si c’est aux consonnes seulement comme l’arabe, aux consonnes, voyelles et tons comme le N’ko de la manière qu’il a fait dans l’usage des approximatives.
Après avoir exhibé ces informations, voici le comparatif de capacité de certains alphabets:

TABLEAU

Alors c’est cette comparaison qui montre la capacité des alphabets en vigueur, par l’usage des phonèmes et syllabes pour écrire des expressions humaines.
Dans ce tableau, l’écriture bamu qui suit le N’ko dans la multiplicité parce que trois fois cette écriture et quelque. L’écriture romaine qui est la 1ère édition du latin ses 105 syllabes fois 20 et demi est égale au N’ko non élargi. Sa forme étendu par l’usage des consonnes et voyelles est 480, alors, c’est 4 fois ce nombre qui est celle de la capacité du N’ko non étendu. Pour le moment il n’y a pas de clavier peut utiliser ces 480 syllabes du latin élargi, alors que le clavier N’ko écrit correctement ses 2152 syllabes.
 si nous elargissons l’ecriture N’ko, nous aurons 9 fois cette l’eccriture latine en elle.
_si vous vvoulez vous pouvez comparez le N’ko à d’autres alohabets. A part l’ecriture latine, l’alphabet syllabique est celui composé de voyelles et consonnes, sont aux environs de 180. Ce sont les langues à l’alphabet phonétiique qui depassent cette quantité parce que la langue de ces nations est tres developpes en tons et elle ne peut pas exister sans ces tons.
_apres tout si on crée une jolie ecriture à base de l’écriture encienne, à travers laquelle les autres langues peuvent des trait de ressemblance. A cet effet il faut qu’on la soutienne par certaines ou l’unissant à d’autres afin qu’elle puissent etr automone en tout temps et tout moment.
 l la dureté d’une langue dépend de son état
 l certaines langues dépendent du comportement de ses premiers loculaires
 l certaines dépendent de la persévérance des subsistance de sa vie comme :
1-l’état de l’écriture la fera participer dans beaucoup de choses, avant d’atteindre l’objectif de sa fondation comme souvenir du son ou d’un objet indiqué. Tant que ce souvenir s’éclairci en montrant ses choses indiquées, cela favorise sa persévérance et encourage ses apprenants à le maîtriser, de surcroît à la maintenir dans le monde des écritures. Cette maitrise est comme nous utilisons toujours dans la langue les noms des choses en elle-même par leur signe, comme (yiri) fait souvenir à l’homme des êtres qui poussent de la terre (l’arbre). C’est ce que cette expression montre.
L’écriture réel de (yiri) avec ses tons est (yi) et (ri). Ce procédé facilite la liaison entre l’expression écrite à l’orale et dans la vision comme l’expression orale au sens en première position.
Dans ce cas nous dirons que la manière d’écrire, de parler et le sens sont tous ensemble dans la conscience. Dans le cas ouu l’écriture n’est pas le l’image de l’expression orale, cela va diminuer sa vie en se changeant ou en se transformant en d’autres.
De là, l’alphabet peut devenir syllabique, à consonne ou à consonne te voyelle ou d’autres. Tous ceux-ci ne sont pas graves s’il arrive à atteindre l’objectif de sa fondation cependant leur comparaison nous prouve la facilité de l’un par rapport à l’autre.
En faisant une rétrospective dans les exemples sommaires de chaque écriture, vous verrez que certaines présentent des problèmes complexes qui sont difficiles ou impossible à résoudre.
2_ Les premiers dignitaires de l’alphabet ont une grand rôle dans ses actions, à savoir son engagement à le maitriser au sens réel, c’est-à-dire s’il y a un défaut en lui, traiter celui-ci avant qu’il ne soit répandu avec ce défaut. En outre c’est pour ne pas que défaut soit découvert par un autre peuple. Toute fois que le défaut d’un alphabet se découvre, quelqu’un va toujours tenter de le corriger afin de l’améliorer. Souvent l’écriture améliorée peut devenir une autre écriture à part telle que l’écriture phénicienne a plusieurs branches. Cela encourage son fondateur à faire sa promotion en tout lieu et tout moment. Cela va de sens que la civilisation humaine, l’homme change toujours ses rapports. A cet effet l’objet dominé sera toujours fréquent dans ses rapports.
Partant de cela, s’il n’y a pas de successeurs sincères dans ses actions, de là, elles vont baisser jusqu’à la disparition.
3_l’alphabet en lui-même est une bonne chose, cependant il faut qu’il fasse des œuvres concrètes en tout moment pour son développement éventuel. Ces œuvres sont la littérature, la tradition et la science, si l’existence de ces trois est avéré vrai dans une écriture, elle sera perpétuelle parce qu’elle est leur réservoir.
Alors nous dirons que l’écriture est un instrument qui améliore la langue humaine à travers toutes ses dont sa pensée a pu atteindre.
La littérature orale sur laquelle elle se base pour s’éclaircir, c’est ce qui a rendu les hommes a son instrumentalité de conservation. Si tel n’est pas le cas, l’écriture serait un simple plaisir ou un jouet.
Alors dureté et la sauvegarde de l’instrumentalité et l’amélioration de l’écriture que nous venons de relater ci-haut l’en fait d’un bon produit ou un produit proche de la bonté.
Pour sa dureté, si vous remarquez dans les différents alphabets expliqués ci-haut, cette dureté en tout temps et tout lieu dépend du degré d’existence des éléments de dureté.
C’est pour cette raison que les hommes du N’ko sont engagés a écrire la littérature, l’histoire de l’empire du Mandé, son mode vie classique et moderne en N’ko. Et leur engagement à le développer au rythme du monde actuel auprès des grandes langues qui sont en avance sur nous dont le français est le premier, après on a l’arabe l’anglais et le portugais.
Dans l’aspiration des hommes du N’ko, il faut qu’ils s’inspirent de la trace de ces grandes langues qui les ont précédés dans les grandes découvertes scientifiques dans tous les domaines au service de l’humanité. A cet effet il faut des instruments pour qu’on participe à cette science, mais les techniciens ont déjà résolu ce problème pour les peuples engagés.
Ce procédé a beaucoup aidé le N’ko du fait qu’il existe dans le monde électronique, pour participer ensemble avec les nations avancées dans leur système éducatif au sein de la société. C’est pour que le N’ko soit simplement initié dans l’application ce système.
 Les alphabets primaires de l’Afrique
Apres avoir exhibé l’état de tous ces alphabets, après avoir remarqué leur lieu de fondation, on a vu que les alphabets primaires et améliorés qui peuvent une évoluer en se débarrassant de tout obstacle, ces alphabet vivants ne sont pas nombreux. Du fait que la plupart des alphabets africains ont disparus le siècle passé et n’existent que par leur noms qui son dans l’histoire.
Par observation l’écriture N’ko est l’une d’elle chez nous en Afrique occidentale. Et celle primaire exprimée de l’orientale qu’on appelle le « grec ou l’éthiopien ».
Le fait de comparer l’écriture « Bgèssi » au N’ko, l’écart entre elles, est comme la différence d’âge entre l’écriture à l’origine ancienne et celle récente. L’une est fondée depuis des siècles alors que l’autre n’a même pas un siècle. Alors leur comparaison prouve leur vivacité dans les actions.
Si le vieux et jeune sont égaux dans chargement du fardeau, on dira que le vieux est célèbre. Au contraire si le jeune et vieux sont égaux dans la connaissance de l’histoire, on dira que le jeune est célèbre. De là si un jeune à l’âge adolescent arrive à connaitre son origine et faire les actions célèbres de ses ancêtres plus que ses amis de promotion, alors celui qui l’observera à l’âge d’adulte, cela ne serait-il pas un grand évènement.
A cet effet les écritures mourantes et celles nouvelles coexistent dans les lieux, elles sont dans les écoles et université du monde ; le « Oussoumaniya » à Somalie et « Madombé » à Congo Démocratique.
En ce qui concerne le N’ko, je demande à tous leaders humanistes de bien vouloir le sens de fondation au sens de son fondateur. C’est-à-dire une écriture qui peut écrire toutes les langues humaines surtout celles africaines qui sont essentiellement phonétiques. Son nom ci dérive d’un nom général de l’empire du Mandé, c’est ce nom qui fut renommé à lui encore. Par observation on dira que cela ne pourra que le renforcer.
Apres l’obtention de notre propre écriture, alors soyons rapides et directs dans les écrits qui vont nous servir pour notre liberté dans le monde des écrits. Je dis cela parce nous l’avons pas avant parce que le monde est créé depuis.
J’adresse ce message à tout le peuple de l’empire du Mandé, je veux dire tous ses différents dialecte et à tous les africains et à tous les autres peules du monde.
Que fasse que l’entendiez et l’obéissiez. Amen!!
L’ORIGINE DE L’ALPHABET N’KO
Nous ne pourrons pas clôturer notre recherche sans expliquer certaines logique sur l’alphabet N’ko. Les alphabets créés en 18 ème siècle sont appelés par ceux qui les africanisent comme les alphabets africains. C’est-à-dire des alphabets dont la propriété est licite aux africains ; des alphabets qui n’ont aucune influence ou inspiration étrangères.
Pour ceux qui sont fondés au 19 ème siècle, sont considérés comme des alphabets qui se sont inspirés des précédents. Ces alphabets peuvent être à voyelles et consonnes ou phonétique tels que l’alphabet N’ko, Wölöf et Peulh. Alors il faut que les évènements soient relatés à leur juste valeur afin reconnaitre la valeur de la pensée africaine. Partant de cela, nous choisirons le N’ko comme un échantillon de tous les alphabets africains :
Quant à moi du fait que nous sommes tous des êtres humains, c’est ce qui a rapproché nos visions dans l’observation des faits. Cela s’avère vrai même si nous ne sommes pas de même milieu ou locuteur d’une même langue ; c’est cette raison qu’il y a généralement le compte de un(1) à dix(10) dans toutes les langues. De là, personne ne pourra jamais dire qu’une langue a pris cela de l’autre alors qu’elles ne sont pas de même origine.
Toutes choses prises dans la nature qui les unit seront les mêmes ou approximatives alors l’une ne les a pas empruntées à l’autre, cela s’explique du fait que tout le monde les a eu à travers une même origine en son milieu. Si l’homme fait ses actions à travers la nature, c’est ce qui lui sera favorable dans sa vie.
Pour être évident dans les détails des choses, leur nom se trouve généralement dans leur composition et couleur ; celles-ci ne sont pas souvent vu à des visions différentes. Par exemple si elles sont observées par un chercheur dans un sens, le jour ou un autre va se lever, il retrouvera les mêmes sens en elles sans ambiguïté.
Dans la recherche, nous croyons que les derniers s’inspirent des premiers, il se peut que les derniers suivent la fondation des premiers. Oui, cela est vrai, mais il se peut que les derniers ne s’inspirent pas des premiers parce le mode dans lequel était les premiers si les derniers sont dans le même, ils vont s’engager de la même manière que les précédents ou d’une autre manière conformément au rapport entre le temps et le milieu.
Certains hommes imaginent que les derniers chercheurs s’inspirent toujours des précédents, surtout s’il y avait une liaison entre eux. C’est pour cette raison que certains disent la fondation du N’ko que le chercheur Solomane Kanté s’est inspiré de l’arabe afin de réussir. Tel n’est pas le cas, parce qu’il a tenu compte des traits de dissemblance contre les traits ressemblances. On continue à dire que la plupart des lettres N’ko sont des lettres façonnées de l’arabe et du latin. A partir du moment où certains croient de la sorte, alors que vous, vous le croyez autrement. De là, il faut qu’on prouve cela pour que les gens soient informés au sens réel du fait. C’est ce qui a poussé moi Baba Diané a expliquer l’historique des lettres de l’alphabet N’ko, ses formes et la pensée de créativité. Veuillez vous patienter, nous les atteindrons tout de suite :
Le chercheur Solomana Kané ne nous a pas détaillé la construction des lettres dans un livre. Nous irons alors de ce qu’il nous a raconté, ses manuscrits et ses œuvres. Ce sont eux qui nous ont beaucoup aidés dans la détermination de leurs formes.
-De ses propres récits, il a commencé la construction de l’écriture N’ko par 100 traces semblables, puis il a choisi les plus jolis d’entre eux et les nommés. Il m’a bien raconté ce récit.
-De ses propres récits ; entre l’écriture et l’image, l’écriture a commencé d’utiliser l’image des choses comme écriture. Il a montré l’exemple du N’ko par les lettres ] ߛ et [ߝ et cela se trouve jusqu’à présent dans l’un de ses petits livres.
- Dans ses travaux, il a choisi la construction des voyelles par les tons qui les exprimaient exactement. Le même procédé fut utilisé par certaines voyelles comme] ߛ، ߝ، ߢ [  sauf celles qu’on ne peut pas montrer de la sorte. Ce sont elles qui sont les dérivés des premiers. Dans notre estimation de la vision concrète, ߊ] [ n’a  d’autre sens que l’ouverture de la bouche, ߋ] [ aussi n’a pas d’autre sens que le rétrécissement de la bouche, et ߌ] [ est l’ouverture des dents…
Alors ceux dont il nous a racontés avec leurs noms et ceux qu’il nous a pas racontés dont on voit leurs noms dans leurs images, seront expliqués :

La lettre  [ߊ]  elle a été choisi par la manière de prononcer parmi les 100 signes cités, parce qu’elle est exprimée en ouvrant la bouche. La bouche commence à s’ouvrir de la haut vers le bas.
On dit aussi qu’elle dérive de l’arabe alors qu’elle n’est l’ouverture de bouche la-bas. Elle est une consonne entière vocalisable en trois sons différents (a, i, ou) alors qu’en le N’ko elle prend tous les tons possible.

La lettre [ߋ] : c’est la manière de prononcer son nom qui le fait choisir à la forme d’un cercle parmi les 100 cités.

      ߌ

La lettre [ߌ] : elle a été choisie parmi les 100 comme la précédente, mais elle est prononcée en ouvrant les lèvres sur les dents. En l’observant on dirait l’écartement des deux lèvres avec une tige au milieu pour ne pas son écriture se confond à celle de [ߎ].

      ߍ

La letter  [ߍ]: est prise de [ߌ] en la renversant tout simplement parce qu’il est difficile de la dériver.

      ߎ

La lettre [ߎ] : c’est la manière de prononcer son nom par le rétrécissement de la bouche, qui la fait choisir parmi les 100 signes. Elle est encore comme si vous mettez votre pied une tige de fer flexible et vous prenez les deux bouts pour le courber. Alors la forme donnée ne sera rien qu’une courbe de la sorte [ߎ].

  

La lettre[ߐ] : c’est la manière de nom à la forme d’un ballon qu’elle fut choisie des 100 signes cités. De là on le gonfle par une tige en bas pour ne pas qu’elle soit à l’état posé comme [ߋ]. C’est pour quoi le chercheur Solomana Kanté a différencié les lettres du N’ko, pour ne pas qu’elles ne se ressemblent même pour celui qui écrit mal.
Les lettres N’ko ne ressemblent pas, c’est-à-dire elle sont différentes l’une de l’autre.

La lettre [ߓ] : (ba) signifie fleuve, c’est la manière d’exprimer son nom qui l’a fait choisir de la sorte. Son nom provient de deux lignes parallèles comme les rives du fleuve Niger. Si vous vous arrêtez vers son coté est, vous le verrez couler de la gauche vers la droite. Et la tige au milieu est pour l’enchainement et pour la différencier des autres lettres.

La lettre [ߔ] : à cause de complexité d’avoir l’image de son nom qu’on l’a directement dérivé de [ߓ]. La lettre [ߔ] est plus utilisée dans certains dialecte du Mandé (ߔߊߔߊߔߊߔߊ= ߓߊߓߊߓߊߓߊ). Certaines langues étrangères l’imaginent comme une sorte de [ߓ] comme l’arabe ; vraiment elle le mérite.

 

La lettre [ߕ] : son indique le feu, son nom fut choisi des trois cailloux d’un foyer et sa flamme. Ce foyer fut divisé verticalement en deux en négligeant les autres flammes au profit de la flamme centrale.
Pour celui qui fait face à ce foyer scindé en deux parties égales, si on vous dit de choisir une parmi elles ; je pense bien on ne choisira que celle qui est plus proche.

L’origine de la 1ere forme de la lettre  ( ߖ) classique en N’ko

L’origine de la 1ere forme de la lettre  ( ߖ)moderne en N’ko

La lettre [ ߖ] : c’est la manière de former son nom (dja) qui provient de (djaba) qui signifie l’oignon. C’est la 4eme portion droite de la coupe de l’oignon en long et en large et il est posé est sur tronc entouré de ses racines. Si vous prenez la dernière couche et la racine de son coté, vous aurez automatiquement la 1ere  [ߖ]. Les 1eres  [ߗ]et [ߙ] dérivent automatiquement de [ߖ].

On peut imaginer que [ߖ] se ressemble au (ح)  renversée de l’arabe. Pour éviter toute confusion Mr Kanté l’a fait traverser par un trait pour qu’elle soit sous la ligne d’enchainement de l’écriture N’ko. Un tel enchainement va désorganiser l’écriture N’ko, de là, qu’il a maintenue de la sorte pour qu’elle se différencie totalement de la lettre arabe et pour qu’il y ait une cohérence entre les lettres du N’ko dans l’enchainement. L’esprit de lettre provient de l’oignon comme de la manière que le chercheur dans celui de [ߝ] et [ߛ].

La 1ère [ߗ]
La lettre [ߗ] : c’est à cause de la complexité d’obtention de son nom qu’elle fut l’une des dérivés de [ߝ]  
[ߗ] est prise de la partie postérieure de l’âne mais 1ère (tcha) provient de la 1ère (dja).
Alors la 1ère [ߗ] provient des transformés de [ߖ].

La lettre [ߘ] : (da) signifie la porte, son vient de là, l’image de deux protes contigües. Il à construit les lettres de la sorte qu’il sera très difficiles de les mélanger ou confondre.

La lettre [ߙ] : à cause de la difficulté d’obtention de son qu’on l’a directement dérivé de [ߝ] l’image de [ߙ] . La 1ère [ߙ] fut formée d’elle aussi. Son point d’enchainement dans l’écriture est à son pied contrairement à la première.

La lettre [ߛ] : c’est au nom du pied que son nom fut construit. La lettre est construise de la forme rectangulaire du pied. Mr Kanté l’a montré de la sorte dans l’une de ses livre intitulé : ……………. Veuillez regarder là-bas.

La lettre [ߝ] : comme son nom l’indique elle fut construise de l’âne arrêté et faisant face au coté droit. Mr Kanté l’a montré de la sorte dans l’une de ses livre intitulé : ……………. Veuillez regarder là-bas.

 La lettre [ߞ] : elle fut aisément dérivée de la partie de [ߝ].

La lettre [ߟ] : elle est une dérivée de [ߝ] en la faisant face au coté gauche tout en supprimant l’image de sa patte postérieure

La lettre [ߡ] : elle est une des dérivées de [ߜ] en renversant, elle est tout simplement le contraire de [ߜ] c’est-à-dire elle est posée sur la ligne d’enchainement.

La lettre [ߢ] : (gna) qui signifie l’œil, cette lettre est construise d’un œil avec les sourcils tournés vers la gauche et l’allongement du nez qui sert de support dans l’enchainement de l’écriture.

La lettre [ߣ] : est elle aussi construise de l’âne [ߝ].

La lettre [ߤ] : cette lettre aussi est construise de l’âne [ߝ] en coupant certaines parties et en l’ajoutant une petite corne.

 

La lettre [ߥ] : elle a été construise de l’image d’un piéton qui marche. la lettre [ߥ] dans l’enchainement est comme celui qui marche vers ton en te faisant face.

La lettre [ߦ] : elle a été conçue du gonflement de la bouche, c’est-à-dire de la lettre [ߐ] en mettant une petite corne au dessus d’elle

La lettre [ߒ] : elle a été conçue de l’âne [ߝ] en coupant ses deux patte de devant au profit de celles antérieures et la faisant face au côté gauche.

La lettre [ ߠ] : à partir du moment où elle est considérée comme la lettre [’] transformée en [ ߠ] , alors est conçue de la même [ ’] pour que la relation de même origine soit conservée. [’] est conçu de l’image de de [ߝ] et [ߠ] aussi provient de [’] en coupant sa tête au profit d’un trait horizontal.

La lettre [ߧ] : à partir du moment où [ߧ] résulte de la transformation de [ߦ]. Cette écriture provient aussi de [ߢ].
Quant à l’écriture des chiffres la plupart d’entre eux proviennent de la nature de la sorte : dans notre littérature on comptait par le caillou (bèrè) et le bois (yiri) en doublant un pour exprimer un nombre c’est pour quoi on exprime la quantité par (bèrèya) ou (yirika) , c’est-à-dire le nombre de caillou qui le contient.
Pour le compte des multiples, on a utilisé le mot (yirika) qui signifie la quantité ou beaucoup. C’est de là qu’on a fermé la main en dressant l’index dressé pour exprimer le compte (un). Cet peut être un démonstratif pour indiquer quelque chose en haut ou en bas. C’est ce qui l’a rendu ……ߗߜߊߡߊ……
Le chiffre [߁] : il est construit de la position dressée de l’index. Cette logique est unique dans plusieurs nations sans l’une ne l’emprunte à l’autre.
 Le chiffre [߂] : il est construit de deux bâtons arrêtés ensemble. Pour raccourcir l’écriture qu’on a coupé le début du 1er et le collé au 2eme en maintenant leur position.
Le chiffre [߃] : il s’agit d’un bâton arrêté et l’autre cassé en plusieurs morceaux. De là on a collé deux morceaux au 1er bâton pour construire ce chiffre.
Le chiffre [߄] : l’idée de cassure qu’on a initié son nombre complet est de quatre. Ce sont eux qu’on a enchainés pour construire le 4eme chiffre du N’ko. C’est-à-dire il est conçu de combinaison de quatre bâtons ou d’un bâton en quatre parties.
Le chiffre [߅] : est un chiffre arrêté, construit d’un seul bâton avec une dent au milieu. Cette construction est le représentant du 5eme chiffre du N’ko.
Le chiffre [߆] : il est construit du chiffre [߅] en faisant passer sa dent vers la gauche pour déformer sa position verticale comme palier de l’escalier.
Le chiffre [߇] : il s’agit d’un [ߊ] allongé et cassé vers le coté droit en une position oblique. C’est cette construction qui représente le 7ème chiffre du N’ko.
Le chiffre [߈] : il s’agit d’un [ߊ] allongé cassé comme [7] et faire passer un milieu pour former le 8ème chiffre du N’ko.
Le chiffre [߉] : [ߐ] est une lettre construit d’un cercle qui a toujours l’intérieur. Alors le [߉] est construit de la lettre [ߐ] en l’allongeant et en coupant son pied ou sa base.
Nous avons expliqué les lettres que le chercheur Solomana n’a pas expliquées. Ces estimations sont comme celles du fondateur parce ceux dont s’est limité dans les explications les miennes sont de la sorte. Vous aussi, veuillez observer en votre manière pour connaitre sa véracité.
Le chiffre [0] : ce chiffre à la forme d’un cercle, cela ne surprend personne du fait qu’il a pris à cette pour indiquer simplement une chose vide. Zéro (0) signifie en N’ko (sökolon) c’est-à-dire chose vide. Quant à vous vous quel autre signe pouvait être convenable ça dans l’écriture?
A cause de son état vide qu’il demeure le représentant du zéro dans tous les comptes. C’est de là qu’on arrive à écrire tous les multiples des deux sens à partir de zéro : soit au-delà de sa valeur  [ ߓߎ +] ou au-dessous d’elle  [ ߖߊ -].
Alors de ces explications les lettres N’ko sont quelques groupes :
- celles qui sont prises du reflet de leur prononciation comme les voyelles : [  ߊ ߋ ߌ ߍ ߎ ߏ ߐ]
- celles qui sont prises de l’image d’une chose tout l’empire du Mandé connait comme [ߓ، ߕ، ߖ، ߘ، ߛ، ߝ، ߥ]
- celles qui résultent de la  transformation  des  images de ces lettres [ߌ، ߐ،ߓ، ߖ، ߝ، ߥ ] :
- Pour [ߌ] : qui est l’ouverture de la bouche renversée est [ߍ] et sa couverte est [ߜ] , et la forme posée de [ߡ] .
- Pour [ߐ]: il s’agit planter une tige aux bouts d’un ballon pour avoir [ߦ].
- Pour [ߓ] : construit de la forme du fleuve, sa forme transformée est [ߔ].

- Pour

- Pour [ߝ] : c’est en coupant certaines parties de [ߝ] pour avoir [ߒ] et [’], et [ߣ] et [ߤ] de la coupure de [ߒ] sans oublier [ߗ] et [ߙ].
- De là, nous dirons que [ߠ] vient de [’] et [ߧ] vient de  [ߢ].
Apres avoir lu et compris toutes ces explications on saura que l’écriture N’ko a été créée de la civilisation madingue.
Pour ceux qui disent qu’elle provient d’une partie de l’arabe ou du latin par, vraiment ceux-ci sont loin de la logique.
Quant à certain tous les grands évènements proviennent des grands hommes, c’est ce qui a rendu célèbre les partisans de notre ancienne civilisation tels que:
- les pharaons de la grande civilisation africaine.
- les Cissé (descendants des hommes) de l’empire Wagadu.
-la postérité de Maga Soudjata comme respectables.
 

 -c’est de la meme manière que l’écriture des Bassa est la préoccupation des prêtes.  
-et croire faire que l’écriture des africains datent à partir de l’arrivée des européens et prêtres chez nous, alors que les arabe les ont précédés.
-et considérer l’écriture N’ko comme celle construise des écritures étrangères.
-et transformer le nom de la mère du chercheur Solomana, si ce n’était pas que cela est fait devant nous tous.
De la manière qu’on a relaté l’emprunt, si tel est le cas, cela contredit le raisonnement des Haliki. Qu’est-ce qui a coïncidé certaines lettres des Massaba à celles des Vayinkagbodo, alors que les 2emes n’ont pas su l’existence de l’écriture des 1ers ?
Pour quoi le compte commence de un (1) à dix (10) dans la plupart des langues?
 
 Qu’est-ce qui a …………………………………………
A partir de ces explications, nous avons su que tout ce qu’on dit de nous est faux, le N’ko vient des de civilisation mandingue comme certains chercheurs l’affirment. Nous, nous sommes du Mandé, et savons que ces élément de notre civilisation ne sont pas développés pour qu’ils puissent remplacer l’écriture. Nous serons sommaires sur cette partie. Cependant en ce qui concerne la prise du N’ko dans l’arabe ou latin, ce qu’on vous a développée de la sorte.
Voici le raisonnement de ceux qui disent que le N’ko est de l’arabe; le N’ko est prise de l’arabe et une du latin :
que : [ߊ] du N’ko vient de (ߊ ) de l’arabe, [ߌ] du N’ko vient de (ߍ) du Arabe au milieu, [ߎ] du N’ko vient de (u) du latin, [ߐ] du N’ko vient de (ߛ) de l’arabe en combinaison avec le signe ( ?) l’interrogation. Cependant on n’a pas parlé de la construction de [ߔ] du N’ko qui provient de [ߓ].
La [ߕ] du N’ko vient de (ߓ) de l’arabe
  
la [ߖ] du N’ko vient de (ߤ) de l’arabe, on a négligé la provenance [ߗ] du N’ko à [ߖ]  du N’ko, la [ߘ] du N’ko vient du début de (ߔ) de l’arabe, la [ߙ] du N’ko vient du (ߴ ) de l’arabe, la [ߛ] du N’ko vient de (ߧ) de l’arabe, la [ߜ] du N’ko vient de (ߗ) de l’arabe au milieu de l’écriture, la [ߝ] du N’ko vient de (f ) du latin, la [ߞ] du N’ko vient de ( ߕ) de l’arabe, la [ߟ] vient de (ߋ) de l’arabe, le [ߡ] du N’ko vient de (ߣ) de l’arabe, [ߢ] du N’ko vient d’une des formes de [ߣ] , la [ߣ] vient de (ߝ) de l’arabe reversée un sur côté, la [ߥ] du N’ko vient de (ߛ) renversée de l’arabe.  
Apres toutes ses explications, sachez que le nombre le plus petit sur les différentes versions d’explications sur un fait est un, c’est ce qui a créé la contradiction dans la plupart des évènements. Cependant les racontars expliquent toujours selon leur vision mais s’expliquent qu’après l’analyse de chaque cas, celui-ci pourra donner raison à une parmi les autres parce que restera toujours unique.
Partant des différentes versions attribuées au N’ko, sa ressemblance ou sa prise de l’arabe, en commençant classement de ses lettres celles de comme l’arabe, prouve qu’elle dérive de l’arabe selon la version de certains racontars. Nous avons déjà expliqué notre version sur cette ressemblance. Si les formes de deux choses sont égales, on doit demander au moins le propriétaire de l’une d’elles afin qu’il explique où est-ce qu’il a pris pour lui ? S’il montre qu’il a pris pour lui du précédent, il est libre de le faire. Et s’il explique une version qui l’octroie l’invention, on doit être obéissant cette explication de son dignitaire. Par exemple le chercheur Solomana Kanté a expliqué l’origine de [ߝ] et [ߛ] du N’ko, alors qu’elles se ressemblent beaucoup à (f) du latin et (ߧ) de l’arabe. La construction de toutes nos lettres est déjà expliquée.
Le fait de prendre le classement des lettres N’ko à celle de l’arabe, je pense bien cela n’est pas de nous seuls. Si vous voyez les européens prendre part aujourd’hui du « Sosso Bala » de l’empire du Mandé, les nations d’autres continents prendre part de l’héritage des pharaons, les documents de Tombouctou (R.M) devenus universels, c’est la loi universels des héritages qui les a occasionnés.
Les Fayinka (un des noms des habitants du Mandé) et leur ascendants font partir du cercle des premières nations qui ont commencé l’écriture. Partant leur universalisation, la part des hommes ce cercle ne doivent être marginalisé. Du fait que l’écriture appartient à un milieu, c’est ce qui a fait nommer la plupart des écritures européennes (alphabet, ߘߊߖߊߓߑߖߊߘ) si je ne trompe pas ces deux expressions sont des mots arabes, pris de l’enchainement des lettres de leur alphabet.
Cet alphabet commençait par le [ߊ] puis [ߓ] de l’arabe et les arabes appellent [ߊ] « aliif » et deuxième « baaou ». C’est ce qui a rendu cette suite « aliif-baaou » puis « alphabet » dans les langues européennes.
Le classement de celui qui commençait par [ߊ=a], [ߓ=ba] et [ߖ=dja] toutes de l’arabe, cet alphabet fut nommé « abadjada » puis « adjabi » dans les langues européennes.
Loin de tout ça, les langues ne sont pas de même nature, leurs alphabets ne sont pas les mêmes, elles se différencient par des caractères propres à chacune d’elles que l’autre n’en a pas. A part celles-ci les autres ont les mêmes caractéristiques à l’alphabet en voyelles et consonnes ou de consonnes seulement aux environs de 30 lettres.
Dans l’évolution de certains groupes d’hommes déjà alphabétisés dans la plupart nations. Dès que cet alphabet atteint 30 quelque soit la manière, les alphabets récents vont ressembler aux précédents parce qu’ils ont été déjà alphabétisés à ceux-ci auparavant. Il peut aussi avoir des traits de dissemblance entre eux.
C’est cette procédure qui montre leur rapprochement ou l’unicité dans l’enchainement des différents alphabets européens. Il y a aussi quelques points de dissemblance entre eux. Leur rapprochement-ci est fonction de leur ancien alphabet bien qu’ils n’étaient pas propriétaires de cela avant la création du récent, et personne n’a poussé les récents à choisir ces manières-ci.
Aucune nation ne peut s’exempté de l’évolution des étapes intermédiaires et générales de son évolution. C’est pour quoi Monsieur Solomana Kanté ne pouvait aucunement s’échappé du perfectionnement de son milieu.
Si c’était pour l’organisation ce qui est personnel, la manière que les voyelles du N’ko sont, les consonnes seraient de la meme manière dans le classement pour les différencier de tous les autres. De là personne ne pourra dire que son classement résulte d’un autre.
L’un des objectifs du N’ko est d’ajouter à l’alphabet du Mandé les manquent aux autres alphabets, puis l’exhiber en une forme qui le rendra facile à tout le monde. C’est ce qui l’a mis à la forme actuelle de la sorte.
En expliquant autrement, les lettres du N’ko [ߊ ߋ ߌ ߓ ߕ ߙ ߤ ] qui ressemblent beaucoup à celles du latin [n t b f y o l] pour quoi celles-ci n’expriment pas les termes de ressemblance ? Cela va de même sens que les lettres du N’ko [ߍ ߏ ߓ ߖ ߘ ߞ ߣ ߥ ] qui sont on dirait celles transformées du latin comme [6 L k B z F u v].
Un confusionniste est capable de transformer le sens de ton action sauf Dieu le Tout Puissant vous aide.
Si le N’ko s’est inspiré de l’alphabet arabe pour sa fondation et son classement, on peut aussi dire de la meme manière qu’il s’est inspiré de l’alphabet latin, parce que l’alphabet N’ko comprend 27 letres et le latin 26 : 7 dans 18 s’écrivent de la même manière, 8 nouvelles lettres en échange des anciennes et 2 s’équivalent dans l’écriture et dans la prononciation que voici [ߝ] et [ߎ] sont [ u f ]. Ces deux alphabets sont composés de voyelles et de consonnes.
Pour celui qui veut comparer les deux, cet intéressé ne serait-il pas incapable de montrer le rapprochement et la ressemblance du N’ko au latin ? Je pense que cela est facile si son objectif était ça.
Pour être précis c’est l’influence de nos frères coreligionnaires qui est sur nous.
La ressemblance entre le N’ko et le latin n’est-il pas plus clair que celle de l’arabe si cella est avérée ? Il faut être maitrisé ton action pour ne pas qu’on le gâte ou le sabote dans ta main.
Le sens de l’écriture N’ko :
Du fait qu’on dit que l’écriture du N’ko commence de la gauche vers la droite, cela n’a pas d’importance. A partir du moment où les premières étaient sens, alors on est libre de faire ce qu’on veut. Les écritures sensées n’ont de sens que quatre : de haut en bas, de bas en haut, de la droite vers la gauche et de la gauche vers la droite. Les deux derniers sont les plus pratiqués bien que les deux premiers praticables. L’écriture des Koko pratiquait les deux derniers et les ressens ont choisi d’eux-mêmes un sens parmi les deux.
Dans le bon sens touts les faits n’ont pas plusieurs manières comme les habillements et la voie aigüe dans la chanson. Partant de cela l’écriture n’a que deux sens actuellement, il faut qu’on obéissant à cet raisonnement.
Comparaison particulière:

A partir ce moment, nous voulons une comparaison particulière notre nous-mêmes entre le N’ko et l’arabe, et entre le N’ko et l’arabe c’est-à-dire expliquer le caractère à chacune d’elle dans cette comparaison.
XSi la comparaison de l’alphabet se faisait apparemment et le juger en fonction de cela en dehors de celle des dignitaires, moi j’allais dire: qu’à part son sens dans l’écriture, le N’ko se ressemble beaucoup au latin par le classement de ses lettres plus que l’arabe.